15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 18:37

 

 

 

 

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Paris

 

 

 

Après Halloween, Lucy me laissa dans le silence pendant près de trois jours puis m’envoya un mot me disant qu’elle avait oublié son mobile chez le copain qui organisait la fête.

 

Je ne savais quoi en penser. Elle prenait de la distance, remettant en question notre relation.

 

Elle me disait qu’elle m’aimait beaucoup mais qu’elle ne ressentait pas de désir pour moi. Je ne sais plus comment, mais c’est en parlant de la complexité de notre relation que nous avons évoqué pour la première fois le fait d’être flammes jumelles, sans trop savoir ce que cela voulait dire vraiment.

 

C’est le lendemain, mardi 4 novembre que j’en apprendrai plus. C’est venu comme une évidence, difficile d’expliquer, c’est comme dans les soins, je sais ce que je dois dire, comme si ces pensées étaient déposées dans ma conscience.

 

Je regardais sur internet de quoi il s'agissait… et je tombais sur un très beau site d’une femme qui a vécu une rencontre de flammes jumelles. C’est très beau, peut-être le site le plus authentique.

C’est simple, en le lisant, j’avais l’impression de lire mon histoire avec Lucy.

 

Elle parlait d’abord de la différence entre les deux flammes. L’une, la flamme éveillée, est celle qui comprend l’intensité de ce qui est partagé. Elle aime son autre : amoureusement, fraternellement, et se montre protectrice, entretien la notion de nid.

L’autre flamme, la moins éveillée, ressent bien qu’il se passe quelque chose d’inhabituel, un très fort lien, mais n’arrive pas à comprendre la nature de la relation. Elle n’éprouve pas de désir pour l’autre.

 

Le premier stade de leur rencontre est curieusement basé sur la séparation. Ils revivent le traumatisme de la séparation initiale, la séparation des polarités. Outre cette séparation essentielle, profonde, se joue une autre forme de séparation, les deux flammes se retrouvent toujours séparées pour une quelconque raison, qu'elle soit professionnelle, géographique, familiale. Il y a toujours une grande distance matérielle entre eux dans les premiers temps de la rencontre.

 

Le deuxième phénomène important à noter est ce mécanisme d’attraction-répulsion. Il existe une réelle attirance entre les deux personnes, mais impossible de la vivre du fait de la répulsion physique, énergétique que vit surtout la flamme moins éveillée.

 

 

La conjonction de ces deux phénomènes fait que la situation est vraiment très difficile à vivre pour les deux êtres. Beaucoup de temps à prévoir pour envisager un rapprochement, pour consacrer l’union. Une suite de séparations à envisager, et de retrouvailles en perspectives…

 

 

 

L’union du couple ne se fera pas toujours malheureusement, et cela, du fait de l’incompréhension de la flamme moins éveillée. Bien sûr, celle-ci, n’arrive pas toujours à saisir ce qui se passe, ce qui se joue entre eux. Elle préfèrera s’engager dans une série de relations sans suite avec d’autres partenaires, qui à défaut de se situer dans le domaine de l’esprit, correspondra davantage au type de rencontres qu’elle connait déjà, basé sur un désir instinctifs, prisonnière des attaches karmiques.

 

 

Pour en revenir à mon histoire, il se passera beaucoup de petits évènements ce jour là pour me confirmer que c’était bien une journée importante que je vivais. Entre autres, je rencontrais mon amie Orane qui allait accoucher bientôt. Elle klaxonna en me croisant, et descendit de sa voiture toute rayonnante, elle donnera naissance à un petit garçon le lendemain. Orane et moi, nous ne nous voyons pratiquement jamais, uniquement quand l’un de nous a un problème affectif, et toujours par hasard, nous tombons l’un sur l’autre, dans les endroits les plus étonnants. Un moment important pour les deux.


Le soir, j’avais un soin avec la personne qui avait donné mes coordonnées à Lucy, petit signe du destin. Merci à lui.


Je demandais aux cartes si Lucy était bien ma flamme jumelle, la carte de la famille sortit, un nid avec deux œufs.

 

Mais la chose la plus étonnante fut mes retrouvailles avec Céline. Nous nous étions rencontré en mars 2013 au moment où j’écrivais un texte sur le Couple sacré, elle était de passage à Paris pour une conférence.

 

Elle recevait des dessins de son Ange Omaël, l’ange du Couple. Elle avait une relation difficile avec un homme qui était sa flamme jumelle. Je regardais avec curiosité ses dessins, mais à ce moment je ne m’intéressais pas du tout aux flammes jumelles.

 

Avant de partir avec Lucy à Malaga en septembre je lui avais envoyé un message pour lui dire que ce serait bien que l’on s’appelle à mon retour pour faire un peu le point, voir ce que nous avions vécu de beau.

 

Ce mardi là, j’avais envie d’en parler avec elle de ces histoires de flammes. C’était la seule personne qui m’avait parlé vivre une relation de ce type. Je lui envoyais un message. Elle me racontera qu’avant de recevoir ce message, elle pensait depuis quelques jours à moi et souhaitait m’appeler. Je lui disais dans le message « c’est peut-être le moment », elle roulait en nationale dans sa voiture, elle se gara de suite et m’appela, elle sentait elle aussi que c’était le moment.

 

Je lui parlais de Lucy, de ce que nous avions vécu à Malaga, et de l’état de notre relation, jusqu’à la révélation de ce jour. Elle comprenait parfaitement tout ce que je lui disais, elle vivait la même situation depuis deux ans avec son ami Jean.

 

Depuis deux ans, ils avaient tout connu, les disputes, les séparations, allant jusqu’à trois mois de rupture suite à ses relations avec d'autres femmes, puis la reprise de contacts, les bisous échangés, la tendresse, le lien indéfectible, mais en même temps, l’atroce rejet.

 

Il était incapable de lui faire l’amour, il prétendait qu’il l’aimait beaucoup mais qu’il n’éprouvait pas de désir.

 

Nous nous retrouvions au téléphone le soir pour essayer de mieux comprendre la nature de nos relations avec nos Flammes vacillantes. Dans une quête de vison, nous nous voyions reliés à nos Flammes par le cœur et le deuxième chakra. Nous constations la peur qu’elles avaient du couple, la peur de se diluer dans le Nous, eux qui demeuraient dans le Je, dans un égo très fort.

 

La blessure karmique était également présente, liée au traumatisme de la séparation initiale. Ensuite en découlait des vies qui s’articulaient autour de l’attraction-répulsion, surtout lorsque nous avons commencé à entrer dans la densité et à oublier nos mémoires de Flammes jumelles. Le hara et le deuxième chakra sont porteurs de ces mémoires de nidification, de famille.

 

La nuit je me réveillais en sueur, j’avais mal au cœur, je sens que Lucy m’a quitté, est-ce la blessure ancienne, ou m’a-t-elle encore rejetée ?

 

J’ai transmis à Lucy les informations que je recevais sur les Flammes jumelles. Elle ne disait trop rien, si ce n’est que c’était "curieux". Mais elle ajoutait qu'elle n'était pas là dedans, qu'elle avait d’autres choses à faire avant que l’on se donne le temps de fusionner. J’ai compris que Lucy ne dit jamais non quand elle a peur, quand c’est trop pour elle, elle préfère le reporter dans un futur lointain.

 

Lucy, qui est si farouchement indépendante, si égocentrique, si fragile, et qui dans sa tête était déjà entrain de me quitter puisqu’elle se rapprochait de l’autre homme… C’est sûr qu’elle avait d'autres choses à faire avant !

 

Avec Céline, je prends conscience de beaucoup de choses, je comprends pourquoi Marie Madeleine me disait que si notre relation était protégée c’est parce qu’ils attendaient quelque chose de nous.

 

Marie Madeleine a dû écrire le scénario, c’est très beau…

 

Le 21 décembre 2013 au moment du solstice d’hiver, Marie Laure et moi, nous étions à la Madeleine et nous profitions de la belle énergie du solstice pour finaliser le travail entrepris au niveau du nettoyage de notre âme pour rencontrer une relation amoureuse.

 

En février, après mes trois jours passés à Lisieux, Céline me téléphonait pour un soin. Elle me parla des deux Cathédrales de Lyon. J’en avais rêvé sans savoir où elles se trouvaient. Marie Laure me dit que ce rêve évoquait peut-être les Flammes jumelles.

 

En Mars, Céline me montrait ses dessins inspirées par Omaël, l’ange du couple.

Et puis le 21 juin au solstice d’été, je me trouvais à Lyon quand Lucy me contactait pour la première fois.

Et maintenant Céline réapparaissait…

 

Un vrai ballet cosmique, surtout qu’en dînant un soir avec Marie Laure en cette fin d’année 2014, elle m’apprenait avoir rencontré quelqu’un, Jérémie, le 25 juin, soit quatre jours après moi.

 

Elle me disait que ce n’était pas sa Flamme jumelle parce qu’ils étaient partis en Espagne en septembre, comme Lucy et moi, et qu’ils n’avaient pas cessé de se disputer, au point où le propriétaire leur avait proposé un deuxième appartement…

 

Ah ah ! Je crois que c’était bien sa Flamme. Si je n’avais pas été dans l’expérience de l’amour inconditionnel c’est probablement ce qui se serait passé avec Lucy. Marie Laure n’avait pas été prévenue.

 

En novembre Lucy avait été hébergée à Barcelone par un collègue. Il l’a mis à la porte avant la fin de la semaine, lui reprochant de « toujours vouloir avoir raison » et d’être « méprisante avec les autres ».  

 

Nous nous demandions, avec Marie Laure, si nous avons la possibilité de vivre une deuxième chance avec une Flamme, ou si nous la loupons une fois c’est terminé pour cette vie.

Il y a deux écoles, ceux qui pensent que nous n’avons qu’une seule Flamme jumelle ad aeternam, et une deuxième école qui pense que lorsque nous sommes prêts à vivre l’expérience de la Flamme jumelle, nous nous approchons du centre de notre âme, et là, nous nous trouvons en contact avec l’un des fragments d’âme qui nous correspond le mieux et qui est prêt à vivre avec nous cette belle expérience.

 

Marie Laure a vécu le même problème d’attraction répulsion que Céline et moi. Elle est même en contact avec une thérapeute qui a écrit des livres sur les Flammes jumelles, et qui travaille sur ce thème, et qui en est au même stade avec sa propre Flamme jumelle.

Pas facile apparemment de se retrouver. En peu de temps j’ai cinq témoignages, et ils vont tous dans le même sens.

 

Avec Lucy, nous avons abordé le sujet de la Fusion des Flammes. C’est un peu ce que nous avons commencé à expérimenter à Malaga, ce contact de plus en plus intense au niveau des corps subtils. Je sens que cela lui fait peur, elle se demande ce que l’on devient après, une fois que l’on a fusionné.

 

Difficile de lui répondre car nous ne connaissons pas beaucoup de cas de ce genre. Marie Laure m’avait prêté il y a un an un ouvrage sur le manuscrit de Marie Madeleine.

Une personne avait canalisé le témoignage de Marie Madeleine. Elle parlait d’initiation égyptienne proche du tantra, mais une initiation qui laissait une plus grande part à la puissance de la femme, et à l’aspect amoureux de la relation.

 

Elle s’allongeait longtemps avec Jésus et côte à côte, mélangeait tout deux, leurs corps subtils, leurs énergies en faisant l’amour ou pas, selon les jours. Ces pratiques renforçaient et nourrissaient l’ensemble de ces corps, ce qui permit à Jésus de faire nombre de ses miracles et de se préparer à son dernier don de lumière.

 

Je comprenais pourquoi, je disais à Lucy que lorsque nous étions ensemble, j’avais l’impression d’être complet, de pouvoir tout faire, tout devenait possible.

 

Quelle tristesse d’imaginer que nous soyons passés à côté de ce miracle !

   

Dans un ouvrage, je lisais cette phrase « Quand elle a conscience qu’elles sont Flammes jumelles, c’est là que la Flamme moins éveillé est capable de ressentir de l’amour pour l’autre Flamme. »

 

Avec Céline, nous avions compris qu’il faut demeurer dans la confiance, et de savoir que notre relation est protégée.

 

Il y a deux phases également à traverser, la première c’est l’attraction-répulsion, et la suivante c’est la période d’épuration.

La Flamme moins éveillée va comprendre qu’il existe un lien unique avec l’autre en brûlant son égo, l’adversité l’amènera vers la Flamme qui représente la sécurité, le nid, la Famille.

L’autre Flamme devra s’épurer en s’enfonçant dans les marais de l’amour inconditionnel, de l’unité avec le divin, et avec la totalité de la création.

 

Ainsi les deux Flammes se dirigent vers l’unité, en unissant leur polarité, et en s’unissant avec le divin.

 

C’est ainsi que les miracles viennent dans nos vies, tout comme pour Marie Madeleine et Jésus, Shakti et Shiva, Céline et Jean, Marie Laure et Jérémie, Lucy et moi.

 

 

 

 

 

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Lucy ne m’accordait plus de temps. Difficile de fusionner dans ces conditions. De la mi-octobre à fin décembre nous ne nous sommes vus que deux ou trois heures.

 

Elle passait plus de temps avec l’autre homme, me disant qu’il n’y avait que de l’amitié entre eux. Je n’y croyais pas trop, j’étais sur le point de lui dire que le mieux ce serait de faire une pause dans notre relation, et de nous revoir quand elle reviendrait de son voyage en Inde fin avril.

Disputes, mensonges… nous arrivions à la fin décembre. Le ciel bienveillant avec elle, avait cessé de l’être est c’est Kali qui m’accompagna pour l’épilogue.


Nous devions passer quelques jours ensembles, mais au dernier moment on lui proposa un emploi temporaire près de Genève. Elle me proposa de venir plus tôt chez elle, nous aurions trois jours, elle pourrait faire ses derniers achats et préparer ses valises.


Elle me montra un livre que la personne de sa famille qui la soutenait le plus, lui avait offert. C’était un roman que j’avais écrit dans ma dernière incarnation. Elle me moqua en me disant que c’était un signe ! Puis elle me fit remarquer que ses activités professionnelles la rapprochaient de Genève  au moment où je souhaitais y créer la fondation.

 

Lucy se montrait capable de discerner certains signes, mais elle était incapable de s’y tenir. Je crois qu’elle s’éparpillait trop, elle était trop marquée par sa période de toxicomanie, ses blessures karmiques, son inclination à se détruire, son mal-être, elle n’était jamais restée plus de six ou douze mois avec un homme.


J'avais essayé de lui expliquer qu'à Malaga, nous avions été placés dans une bulle de lumière pour nous permettre d'évoluer. Ils nous ont montré ainsi en douze jours le chemin qu'ils nous proposaient, et le choix : la fusion des Flammes jumelles, ou les deux autres hommes qui la tiraient vers le bas. Elle ne voulait pas l'entendre. Forcément, toutes les forces hostiles l'éloignaient de la fusion !

 

Nous nous retrouvions à minuit, le temps d’arriver chez elle, de dîner, de bavarder, nous nous couchions vers quatre heures du matin. En lui prenant la main, je ne ressentais plus rien.

Une fois allongé près d’elle, je ne ressentais que de l’ombre, comme si elle était entourée de formes sombres, je percevais son incapacité à m’aimer, ou à aimer.

J’étais comme  pris de panique, j’avais envie de m’enfuir, de partir en courant. Heureusement le ciel m’envoya une dose de lumière très concentrée au niveau de mon cœur. Cela me calma totalement, m'apaisant comme la fois où elle avait passé la nuit avec son "ex-ami".

 

Nous essayions alors de faire un soin. J’étais Shiva, elle était Shakti, on nous a fait travailler le deuxième chakra  et toute la colonne vertébrale, le cœur aussi. Lucy, râlait… ça c’est tes trucs ! Quand nous étions au Sacré cœur après notre retour de Malaga, Shiva était venu nous voir, elle trouvait ça normal. Là comme nous savions que nous étions flammes jumelles, elle se sentait irritée par sa présence !

 

Le lendemain matin elle était collée à la télé et à face book sur  mon ordinateur, car le sien ne fonctionnait plus depuis deux jours, elle m’avait demandé d’amener le mien.

Nous sommes partis faire des courses, il lui fallait des vêtements de montagne. En sortant de la maison, je plaisantais, je lui disais que je savais qu’en 2015 nous serions séparés, nous devions vivre chacun nos trucs, mais je la faisais sursauter en lui disant, que je pensais qu’en 2016 nous pourrions nous marier. Elle me demanda d’arrêter mes bêtises !

 

Le soir nous étions fatigués, elle avait mal à la tête, mais nous avons essayé de faire un soin. Je la voyais  pleine de paradoxes, peur de l’errance et en même temps peur de la stabilité, peur de manquer, et peur de posséder. Elle n’était pas très d’accord au sujet de la peur de posséder, plus maintenant.

 

Nous étions vidés, fatigués, stressés, ce n’était pas comme cela que nous pourrions fusionner, c’était du n’importe quoi, elle m’entrainait dans ses voies de garage, elle faisait tout pour que notre relation capote tout en me demandant que l’on soit ensemble, encore un paradoxe.

 

Pour fusionner, nous devions rester ensemble sur une longue période. Et être disponible, l’un à l’autre. a Malaga il nous avait fallu douze jours ! Là, ne ressentant même plus son énergie quand je lui prenais la main, il était bien difficile d’arriver à quelque chose.

 

Toute la journée nous nous étions fait des bisous sur les lèvres, et là après le soin, elle ne voulait même plus m’approcher une fois que nous étions allongés !

 

Le lendemain, je me levais, je prenais mes affaires, l’ordinateur, et je m’en allais, cela ne servait rien de rester une nuit de plus dans ces conditions. Soit Lucy nous donnait l’occasion d’avancer ou soit nous faisions une pause. Je lui disais que nous nous verrions à son retour d’Inde si quelque chose avait changé en elle.

Elle me demanda si elle pouvait me contacter, je lui dis que je ne savais pas.

 

Une fois dehors, je lui disais qu’il valait mieux qu’on garde silence jusqu’à son retour en France.

 

Le lendemain matin, elle m’envoyait un « je pense à toi » de son train.

Le soir j’allumais mon ordinateur, je voyais dans l’historique "face book", je cliquais dessus.

 

Son compte était ouvert, en partant aussi rapidement, elle n’avait pas eu le temps de fermer sa connexion.

 

Je découvrais des échanges amoureux avec l’autre homme. Je lisais la messagerie des deux individus de Malaga, son « ex-ami » et celui qui l’avait plombé la nuit. J’y voyais ses petites manipulations.

 

Elle disait au premier qu’elle l’aimerait toujours, mais qu’elle ne pouvait pas rester seule. En ce moment son copain c’est plutôt l’autre, celui qu’il connaissait.

 

J’appris qu’ils s’étaient rapprochés un peu avant Halloween, mais qu’ils étaient ensemble depuis la mi-novembre.

 

Ainsi quand elle s’était rendue chez lui, elle m’avait appelé pour me dire «  que ça ne le faisait pas » que je lui manquais.  Elle devait nous mentir au deux.

 

Mais les mensonges ont toujours une fin, surtout quand Kali s’y met !

 

Céline avait déjà vécu ce genre de situations, ils étaient restés trois mois sans communiquer.

 

Je ne savais pas trop comment réagir, je lui ai dis et je l’ai envoyé promener. Nous pouvons vivre dans l’amour inconditionnel, sans toutefois accepter d’être traité de la sorte. À Malaga, je me sentais conquérant, vivant, plein d'optimisme, là elle me transformait en serpillère, en mendiant, je ne pouvais l’accepter.

 

Je me demandais pourquoi avoir été protégé par Marie Madeleine, et Amma pour en arriver là. Je me rendais à l’église de la Madeleine, je ne recevais aucun commentaire, si ce n’est de faire confiance.

 

Un soir, en début d’année, j’ai visionné le film d’Amma. En la voyant s’avancer dans la foule, j’ai été touché. Et là, j’ai pu pleurer pour la première fois. Difficile de dire adieu à sa Flamme jumelle.

 

Après avoir écrit sur la Sainte Trinité, texte où l’on nous montrait l’élévation du corps, vers l’Âme puis enfin vers l’Esprit, passant du « Je » égotique au « Nous » d'inspiration divine… ma rencontre avec ma Flamme jumelle me menait plus étroitement en direction de l’unité.

 

En ce mois de janvier 2015 je commence à recevoir des messages qui m’invitent à entrer plus profondément dans l’unité en me montrant le chemin du Royaume de Dieu, du domaine de l’Esprit.

 

Je sais que nous sommes entrés, Lucy et moi, dans la phase d’épuration, je ne sais pas ce qui viendra dans le courant de l’année, mais je sais que je n’ai plus de colère vis-à-vis d’elle, je sais que je l’aime de façon inconditionnelle, quoiqu’elle puisse faire, quoiqu’il arrive. Je t’aime Lucy, plus que tout.

 

Celia Fenn a reçu en janvier un message du ciel nous indiquant qu’en 2015 la galaxie d’Andromède, la plus proche de notre propre galaxie, est entrain de tisser un lien plus étroit avec nous. Sa fréquence dominante est la lumière d’Or.

Cela me rappelle qu’en 2007 je recevais des messages d’Eon, Maitre du rayon Or d’Andromède, joli clin d’œil.

 

Andromède a développé le principe masculin, notre galaxie a développé le principe féminin, nous assistons à l’union, à la fusion de ces deux Flammes jumelles galactiques. Nous sommes invités à nous joindre à eux, nous connectant davantage à la lumière dorée d'Andromède.

 

 

 

 

 

 

  Galaxie

 

 

 

 

 

 

  17 janvier 2015



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