6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 18:16

 

 

 

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                                                                                                                                               Claude Monnet

 

 

 

 

 

 

Après ces révélations sur le Couple sacré, et les chakras… mes interrogations sur Flo, Luna, et les autres…  sur toutes ces âmes, qui seraient âmes sœurs, âmes jumelles, je rencontrais Céline, de passage à Paris pour raisons professionnelles.

 

Céline était l’ambassadrice d’Omaël, l’Ange du couple. Nous nous étions connus à la suite d’un soin dès mon retour des trois jours à Lisieux, mon séjour près de Thérèse.

Elle me parlait des deux Cathédrales de Lyon, des flammes jumelles.

 

Nous nous sommes donc retrouvés devant la chapelle de la rue du bac, nous sommes restés un moment dans la chapelle, puis nous avons trainé dans le quartier, restant près de trois heures dans un parc près du magasin, le bon marché.

 

La méditation m'avait assommé un peu, j'avais envie de m'étendre, de m'allonger. Céline avait ressenti comme un coup ou un choc violent, au niveau du cœur, peut-être qu'on lui a débloqué quelque chose qui l'enserrait. Un peu plus tard, elle y sentirait comme un souffle, une sensation de fraicheur.

 

Céline me montrait les dessins qu’elle recevait d’Omaël. Des pétales autour de pistils, deux prénoms qui revenaient toujours, le sien et celui d’un homme, associés au mot « flammes jumelles ». Puis des symboles incompréhensibles, elle y voyait les manteaux de l’âme autour du noyau où se trouvaient les flammes jumelles, et puis de chakras relié entres eux dans d’étranges combinaisons.

 

Elle recevait avec insistance ses messages en « écriture automatique ». Elle se disait que cet homme devait être sa flamme jumelle. Elle le connaissait, ils avaient une relation, mais lui ne semblait pas en saisir l’importance, se perdant dans des relations avec d’autres femmes…

C’était le point commun avec Luna, elle se perdait dans ses relations avec ses amants, sans noter de différence entre eux, l’important étant de ne pas rester seule. Du coup, je me demandais si elle n’était pas ma flamme jumelle. Mais je me disais qu'il valait peut-être mieux que je la rencontre maintenant, Luna semblait si lointaine, si insensible...

 

En tournant un dessin sur lui même, je voyais un cœur dessiné, et à l’intérieur un couple qui s’embrassait, une phrase accompagnait le dessin. La phrase était mal écrite, je distinguais juste « embrasse ». Céline ne s’en était même pas aperçue, n’ayant pas pensé à retourner le dessin. Ce détail montrait bien, que les dessins ne venaient pas d’elle, du moins à son niveau de conscience, elle n’aurait pu dessiner et écrire à l’envers, chose impossible me semble t-il.

 

Elle se demandait si cet homme qu’elle fréquentait était sa flamme jumelle, pourquoi alors la relation était-elle aussi difficile ? Dans le soin que je lui avais fait, je ne le voyais pas vraiment comme flamme, mais plutôt comme âme jumelle, ce qui me troublait... m'étais-je trompé ?

Nous nous posions les mêmes questions, est-ce qu’un Couple sacré est composé de flammes jumelles, d’âmes jumelles, d’âmes sœurs ?

 

Tout est possible, je crois. Je me demandais même si nous n’étions pas capables de construire plusieurs Couples sacrés avec différentes personnes. La réponse viendra un jour...

 

En tous cas, le seul point d’acquis dans cette recherche sur le Couple sacré, était lié à l’importance de déceler si nous étions dans cette vie dans la création d'un couple sacré, avec quelle personne, et sur quel chakra travaillions-nous ?

 

Avec Céline, nous nous sentions liés par l’écriture, le monde de l’édition, de la création. Nous nous sommes quittés au Sacré Cœur où elle passerait la nuit.

 

 

 

 

 

 

 

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                                                                                                                                                                   Caillebotte

 

 

 

 

 

 

Le surlendemain, nous nous sommes retrouvés à la Muette. Bel endroit pour quelqu’un qui doit travailler le chakra de la gorge !

 

Céline était tombé sur un article qui parlait d’une exposition sur les impressionnistes au musée Marmottant, elle avait envie d’y faire un tour avant de quitter Paris.

 

Nous avions reçu un ticket de consigne avec le numéro 6. Je lui faisais remarquer que c’était le nombre du mariage, de la vie sentimentale.

 

L’exposition était très belle, je ne connaissais pas trop les impressionnistes, plus attiré par les classiques, mais je reconnais que c’était très beau et que je ferai bien de m’y intéresser davantage.

Céline avait remarqué au pied du grand escalier une grande sculpture d’un couple, Psyché et Eros. La particularité était que tout deux avait des ailes, lui des ailes angéliques, Psyché avait des ailes d’elfes. D’habitude il n’y a qu’Eros qui porte des ailes. Là, il y  avait cette ressemblance étrange.

Au premier étage, dans la partie enluminures du moyen âge, nous trouvions une jolie création qui montrait Ève et Adam, sortir tout deux d’un même corps, comme s’il s’agissait de cette idée d’appartenance... les flammes jumelles.

 

En sortant, nous avons décidé de dîner dans le quartier. Nous nous sommes avancés dans la rue de Passy jusqu’au marché. Je lui ai proposé de prendre une rue sur la droite qui je pensais nous mènerait peut-être vers le pont Bir-Hakeim.

 

Nous regardions les restaurants, et nous bavardions. Céline avait envie de savoir si nous nous étions connus au 19ème siècle, l’écriture… Je lui racontais comment cela était venu pour moi, qu’il faut également beaucoup d’indices pour en être sûr, des visions, des synchronicités.

 

Nous avons trouvé un restaurant sympa à côté d’une église, rue de l’annonciation. Céline regrettait de ne pas pouvoir entrer dans l’église, elle sentait qu’il y aurait certainement un message à recevoir : « l’annonciation », on nous annoncerait quelque chose… Je lui dis que j’y viendrais, un autre jour pour voir.

 

En poursuivant jusqu’au bout de la rue, il n’y avait pas de pont, nous sommes arrivés devant une grille, un jardin, une maison en contrebas, Céline s’est exclamée  : « Je suis déjà venu dans cet endroit. C’est la maison d’un écrivain… »

 

C’était la maison de Balzac, je lui disais à mon tour : « tu ne voulais pas savoir qui tu avais été ?» 

 

Nous riions, mais dans notre intérieur nous nous demandions tout deux si cela n’avait été la réponse.

 

Le repas fut très agréable et très sympathique, remuant toutes les idées autour du couple, des flammes jumelles, des écrivains… de sa nuit au Sacré Cœur... Un très joli échange qui se termina devant un très bon dessert.

 

 

 

 

 

 

 

Deux jours plus tard, nous étions samedi… j’en profitais pour me rendre dans mon lieu favori de méditation. Aujourd’hui l’Archange Gabriel m’accompagnait, et je me demandais ce qu’il me montrerait.

 

Je me retrouvais sur mes douze chakras, flottant un peu comme les arbustes en pousse qui se trouvaient près de moi, je me rapprochais de mon chakra de la gorge, l’archange y dirigeait son énergie, puis au-delà de moi, s'étendant à l’univers en même temps pour atteindre une plus vaste guérison de l’aspect « messager divin ». Combien l’humanité avait été privée d’exprimer cette partie divine de soi, d’être messager dans nos vies, au niveau de notre présence « Je suis »… tant de fois nous avons été limités dans nos corps, nos intégrités !

 

Les autres jours où j’ai travaillé la gorge, Babaji et El Morya avaient montré le lien entre ce chakra, et son corps subtil, celui du gabarit kéthérique, maitre de la forme, du dessin, du calque nécessaire à toute création et celui du corps éthérique lié au chakra du bas.

Lien entre les deux corps subtils qui permet d’amener la création dans la matière, la création par le verbe.

 

Après cette méditation, je voulais me rendre à la piscine et pratiquer un peu de sport pour me détendre, mais c’était plus fort que moi, je ressentais l'impérieuse nécessité de me rendre rue de l’annonciation visiter l’église.

 

Sur place, un mariage comme il se devait, m’interdisait de me promener dans l’église. Un homme chantait, une très belle voix, du chant lyrique.

 

Je me rendais dans la maison de Balzac. Ce qui m’intéressa particulièrement, ce fut une belle pièce, son lieu de travail, là où il écrivait. Je me plaçais devant le bureau et je demandais à Gabriel de me permettre de m’exprimer avec la même puissance que l'écrivain, lui qui pouvait demeurer concentré sur son oeuvre 16 heures durant, se noyant dans le café tout au long, en perdant le sens de la mesure.

 

Il y a deux mois, j’avais relu les illusions perdues de Balzac. Ce livre est magnifique. Je l’avais déjà lu il y très longtemps, il m’avait fait un drôle d’effet. Pendant trois ou quatre nuits, je n’arrêtais pas de rêver, le même rêve,  je me trouvais dans des salons littéraires du 19ème siècle… Curieusement, je l’ai relu au moment peut-être où je me rendais à Lisieux, à Lyon.

 

Dans le jardin, une statue d’un sphinx, un visage de lionne, l'amie d'Omaël. Je me disais que se serait bien de lire le père Goriot, retrouver cet univers d'autrefois.

 


 

 

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Après cette visite, je retournais dans l’église, la cérémonie du mariage était terminé. J’en faisais le tour de l'édifice, pas très intéressant, un chemin de croix gravé sur les côtés, quelques statues de Saints derrière le cœur.

Une chapelle consacré à Marie se trouvait derrière le cœur, mais je ne pouvais y accéder, les portes étaient fermées. Une femme me dit de faire le tour par l’extérieur pour m’y rendre. 

 

 

 

Je m’y rendais, un peu déçu, je me disais que je n’y trouverais rien d’intéressant. Et c’est comme cela que j’entrais dans la chapelle de Marie.

 

Une grande toile de l’archange Gabriel annonçant à Marie l’arrivé de son enfant me ramenait à l’essentiel, bien sûr Gabriel m’accompagnait aujourd’hui, j’entendais presque les paroles de Céline « l’annonciation ». Le bon jour, sur le bon chemin…

 

Je franchissais une porte, et me trouvais dans une autre chapelle. Sur l’autel était exposé le Saint Sacrement, symbolisant le cœur du Christ. Je m’arrêtais un instant pour méditer, pour prier.

 

Il y avait une autre porte encore, je voyais des personnes qui traversaient la petite chapelle. Je me levais et me dirigeais vers cette petite porte.

 

Je n’en revenais pas. Après ces deux petites chapelles, j’étais dans un espace lumineux, une nouvelle église de construction plus moderne, des couleurs gaies, l’odeur d’encens très fort, des prêtes éparpillé dans la salle,  assis et qui  dialoguaient avec des personnes comme à confesse.

 

A côté de moi, il y avait un grand panneau qui s’intitulait : 

 

 


 

 

 

« Être réconcilié avec son conjoint »

 

 

Il y avait une phrase à lire :

 

 

« J’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai suivi et ne le lâcherai point »

Ct 3,4.

 

 

Puis l’indication suivante, à visualiser :

 

 

En silence,

Faire monter dans son cœur, le visage de celui qu’on confie

 

 

Puis prier à haute voix

 

« Dieu notre Père qui as guéri la stérilité de Joachim et Anne, les parents de la Vierge Marie, répands ta grâce sur les stérilités affectives et spirituelles de mon couple.

 

Par la puissance de ton amour miséricordieux, je veux être réconcilié avec mon conjoint. »

 

 

Entends nos prières, entends nos voix ;

Entends nos prières monter vers toi 

 

 

 

 

 

 


C’était très beau, je comprenais, qu’il fallait demander au Ciel la guérison de notre couple quel qu’il soit, Couple sacré, âmes jumelles ou flammes jumelles.

Ce n’est qu’en faisant la paix dans le Ciel que nous pouvons amener cette paix, cette harmonie dans nos vies, ici bas.

 

Tel était le message d’Omaël, et de l'Archange Gabriel.

 

 

 

 

 

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Plus tard je comprenais le sens de cette manifestation, les prêtres avaient décidés dans le cadre du carême de proposer ce chemin de la réconciliation. Il y avait huit stations, où l’on pouvait choisir de faire devant le panneau qui convenait une prière de réconciliation avec ses enfants, des parents, un collègues, avec soi-même, avec un ami, avec l’église, avec un défunt.

 

Au terme des huit stations, le signe de l’encens accompagne la prière qui monte vers Dieu.

 

 


 

 

« Signe de l’encens »

 

 

 

 

« Que nos prières de réconciliation s’élèvent devant toi Seigneur, comme un encens portés par l’intercession de la Vierge Marie, des Anges et de tous les Saints, nous nous confions à la divine miséricorde. »

 

 

 

Mettre une cuiller d’encens sur les charbons et pendant que la fumée s’élève, réciter à haute voix :

 

Notre Père qui es aux cieux…

 

« Et, de la main de l’Ange, la fumée des parfums s’éleva devant Dieu, avec les prières de Saints »

Ap 8,4

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux ou trois jours après cette manifestation du Ciel, je rencontrais une ancienne collègue. Geneviève ne connaissait rien de mes recherches spirituelles, et bien sûr je ne lui avais pas parlé de ces histoires de couples. Dans la discussion, elle me parla d’un ami d’enfance qu’elle avait retrouvé, Jérôme.

 

Ils étaient nés la même année, c’était son « petit ami » d’enfance, ils se faisaient des petits bisous, et elle ressentait du désir pour lui. Ils se sont connus à l’âge de 5 ans, et se sont quittés à 10 ans, à la suite d’un déménagement.

Ils se sont retrouvés à 18 ans, puis perdus de vues.

 

Plus tard, Jérôme avait essayé de la revoir en se rendant dans l’entreprise où elle travaillait, il n’avait plus ses coordonnées, mais elle n’était pas présente ce jour là. Il n’a pas insisté.

Plus tard, elle saura qu’il venait de se séparer de sa compagne, elle aussi se séparait cette année là.

 

Quelques années après, elle se séparait encore de son conjoint, elle appelait Jérôme, et tombait sur sa femme. Elle lui annonçait, qu’ils étaient entrain de se séparer, et lui proposait de lui donner son numéro de téléphone.

Elle refusait, gênée par la situation.

Encore en 2014, ils se sont retrouvé par l’intermédiaire de la sœur de Jérôme, ils ont échangé par téléphone, tous deux ont une relation amoureuse actuellement mais ils ne vivent pas ensembles.

 

Ils se sont donné un rendez-vous, il était malade, rendez-vous repoussé, puis il a disparu, ne répondant plus à ses mails, ni messages.

 

Je lui parlais alors de ce que j’avais vu sur ces histoires de couples sacrés, peut-être qu’ils travaillaient ensemble un chakra bien particulier…

 

Elle s’est promise d’insister un peu pour mieux comprendre, mais c’est vrai qu’il y en a toujours un qui fuit toujours, qui a peur… le plus sombre, le plus blessé.

 

 

 

 

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Lorsque je me suis trouvé dans l’église rue de l’annonciation demandant la réconciliation avec mes conjoints, j’avais senti le vibreur de mon téléphone. C’était Céline qui se manifestait suite aux photos de la maison de Balzac que je lui avais envoyé.

 

Nous avons parlé d’un tas de chose après que je lui ai parlé des tableaux de réconciliation.

 

Elle se disait qu’elle allait demander la réconciliation du Ciel pour son ami, moi comme je n’avais plus d’amie, je demandais pour mes anciennes compagnes dans cette vie ou dans mes vies précédentes, peut-être pour celle qui viendrait maintenant.

Je me souviens que Céline me disait, qu’en même temps que nous unissons nos polarités masculin/ féminin, nous devons également unir nos polarités ombre et lumière.

 

Je l’ai écouté attentivement, pensant que son ange Omaël parlait à travers elle.

 

 

 

 

 

 

Dans les semaines qui ont suivi, je commençais à faire le ménage, nettoyant mon Âme, mon Cœur, ma Monade.

 

Puis je nettoyais les parties sensuelles et sexuelles qui s’attachent à la vie de couple. Évitant toute pollution d’images suggestives, sexuées, pornographiques. Me libérant de toute forme de sexualité qui ne serait désormais accomplie qu’avec mon inconnue céleste à venir.

Nettoyant tout les résidus de lubricité ou de concupiscence qui pouvaient demeurer en moi, lotis quelque part dans les mémoires, cachés tout autant dans le moindre repli de ma conscience.

 

Je commençais à me réveiller le matin en rêvant de mes anciennes compagnes ou femmes désirées autrefois. Je nous voyais dans des jeux sensuels. Je faisais alors appel à la lumière pour nettoyer ces images, purifier nos relations, nous pardonnant de toutes nos bêtises, du mal que nous nous sommes fait, de toutes nos incompréhensions.

Puis je récitais le notre Père et le je vous salue Marie.

 

Cela a duré une bonne quinzaine de jours, peut-être plus… puis un matin dans la nuit du dimanche de Pâques, je me suis réveillé à 2h22 en pensant aux polarités ombres et lumières dont parlait Céline... au Pardon.

 

Je revoyais entre somnolence et rêves, des images de l’Âme.

 

Tout comme le Divin, qui selon certaines traditions, dit-on, s’est fragmenté pour se regarder, se séparant en une infinité d'éclats, s'éloignant ainsi de son état d'unité, prévoyant dans son projet de se réunifier ultérieurement... l’Âme s’est également fragmentée, s’incarnant en plusieurs vies à la fois, pour se regarder.

 

L’image du soleil, et des planètes autour, ou de l’atome avec le noyau au centre et les électrons gravitants autour.

 

L’Âme peut se voir ainsi avec un noyau central et ses fragmentions autour se rassemblant pour former un soleil, tel je voyais notre Âme.

 

Nous étions dans notre incarnation présente l’un de ses fragments de notre Âme. L’Âme se situant entre le corps et l’Esprit.

 

Quand nous rencontrons une autre de nos fragmentations, si elle se trouve dans une dynamique de séparation, plus proche du corps, elle vibre dans l’aspect Âme sœur. Si elle évolue dans une dynamique se rapprochant de l’unité, de l’Esprit, elle vibre dans l’aspect Âme jumelle.

 

Céline dessinait la Flamme jumelle dans le noyau, la décrivant "entourée du manteau de l’Âme". Elle la représentait comme le pistil entourée de pétales. Ces pétales étant les Âmes fragmentées, le manteau de l’Âme.

 

Ainsi chaque fragment peut se rapprocher du noyau central pour expérimenter la vibration de la Flamme jumelle.

 

Nous sommes l’Âme unifiée et le fragment à la fois, comme un hologramme, nous pouvons demander à notre Âme de vivre l’expérience de la Flamme jumelle avec l’un des autres fragments qui nous correspond, qui se rapproche de notre vibration. Parfois, nous n’avons pas à le demander cela fait partie de notre plan de vie. Parfois, nous ne sommes pas encore prêts à vivre cette expérience.

 

Je me suis levé pour aller relire ce que disait Omaël. Il était 4h44.

 

Pour Ronna Hermann, ces numéros qui reviennent de cette façon ont un sens bien particulier.  Pour le 222, c’est le processus de résurrection. Le 444, c’est encore la résurrection, mais avec l’idée que l’on vient de franchir une étape importante.

 

Pâques, c’est la résurrection et j’avais tenté de suivre de suivre le carême, autant que je le pouvais.

 

J’ouvrais le livre des Anges, pour lire Omaël.

 

Il disait : « Tout passe par le pardon et la reconnaissance de vous-mêmes, dans toutes vos expériences, mais aussi un pardon et une reconnaissance de toutes vos polarités, qu’elles soient Ombre ou Lumière, Ciel ou Terre, féminine ou masculine. »

 

Il ajoutait qu’il fallait poursuivre ce travail jusqu’à retrouver un équilibre progressif entre toutes ces polarités jusqu’à ce que l’on atteigne une forme d’harmonie supérieure.

Jusqu’à ce que nous puissions manifester cette harmonie autour de nous auprès de toutes les personnes que nous côtoyons. Un long chemin.

 

C’est certainement le chemin de pardon et de nettoyage que je pratiquais par rapport à mes couples précédant, mes biens aimées…

Et aux mémoires sexuelles existant en moi, transmises par mes anciennes amies, de toutes les vies, et des images virtuelles, des fantasmes.

 

Cela allait même plus loin, me semble t-il, nous demandant... le pardon et la reconnaissance  de tous nos fragments d’Âmes, nos Âmes sœurs et jumelles, qu'elles soient Ombre ou Lumière.

 

C’est ainsi que nous pouvons nous rapprocher du noyau central.

 

 

 


 

 

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Je repartais deux jours plus tard, le mardi 22 avril, vers Lisieux dans le désir de retrouver Sainte Thérèse de l’enfant Jésus. J’attendais un message.

 

Je me rendais à la Cathédrale Saint Pierre, dans la chapelle de Marie construite par l’évêque Cauchon, là où Thérèse aimait prier.

 

Je me retrouvais rapidement dans mon douzième chakra, je voyais un paysage, des silhouettes, puis devant moi, une femme… Marie Salomé !

 

Je me sentais infiniment heureux, le cœur vibrant, et un peu intimidé.  Depuis deux jours, j’avais envie de commencer à écrire un poème sur elle, la femme qui avait accompagné les deux Marie au moment de la mise au tombeau et la résurrection.

 

Je lui disais que j’aimerai écrire un poème sur elle, et la voilà qu’elle éclatait de rire !

Je crois que je dois les faire rire là haut avec mes poèmes ! J'étais quand même rassuré, je craignais qu’elle n’apprécie pas. Je lui ai demandé de m’inspirer parce que l’on ne sait pas grand-chose d’elle. Marie Salomé me parla alors un peu de sa vie au bord su lac de Galilée, de son mari qui partait souvent en voyage pour son négoce, puis qui ne revint pas, décédé, ses enfants restés avec elle…

 

J’intégrais ce qu’elle me disait, en partie en conscience, le reste descendait en moi sur d’autres plans.

 

Rentré à Paris, j’étais très fatigué. J’échangeais des messages avec Joy en rangeant, en mettant une lessive en route.

 

À un moment Joy me dit au sujet de ma fatigue : « Thérèse souhaitait que tu découvres une autre Flamme et un autre rayon. C’est la vie des maîtres !

 

- Une Flamme ? Quelle Flamme ?

 

- Cadmaël sans doute. Maitre Paul le vénitien et la Déesse Kuan Yin. Le troisième rayon.

 

En cherchant sur le net, le 3ème Rayon est celui du Cœur, son jour : le mardi, et sa couleur : le rose.

 

Ils ont un drôle d’humour là-haut !

 

Nous étions un mardi, le matin avant de partir, je retirais mon polo bleu pour mettre un polo rose. En rentrant j’avais mis des draps blancs à laver. Je les ai sortis tout rose, une taie d’oreiller rouge que j’avais laissé avec les draps.

Quel humour !

 

Plus sérieusement, le 3ème rayon est celui de l’amour inconditionnel, de la compassion et de la créativité divine.

Il est relié au chakra du Cœur.

 

Probablement le fruit du travail Cœur, Monade, Âme, de ce nettoyage tous les matins, mes anciennes compagnes, la sexualité.

 

C’est peut-être en baignant dans cet amour que l’on peut atteindre le centre de l’Âme, l’espace de nos Flammes jumelles, s’en approcher.

 

 

En regardant ce qui est dit sur les rayons, je m’aperçois qu’il convient de les travailler certains jours.

 

Je travaillerai donc le mardi le 3ème rayon rose, puis le lundi le 1er rayon bleu, avec l’aide d’El Morya et de Babaji, pour guérir mon chakra de la gorge.

 

Joli programme, ainsi j’avancerai sur ma création de Couple sacré, et peut-être de ma rencontre avec ma Flamme jumelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

(à suivre)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                            1ère partie de l'histoire... Couple sacré, couple de lumière

 


 

 

6 Avril 2014

 


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