31 décembre 2014 3 31 /12 /décembre /2014 20:36

 

 

 

 

 

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C’est en début d’année, au mois de janvier, que l’on a coutume d’annoncer ou de définir quels sont nos souhaits pour l’année qui vient, quels sont nos vœux

 

Je crois que janvier est le mois où l’univers aime nous souffler nos missions, nos tâches à accomplir.

 

 

 

 

Le 4 janvier 2014, avec Marie Laure nous nous retrouvions dans l’église de la Madeleine pour le plaisir de poursuivre notre méditation du 21 décembre, solstice d’hiver.

 

Après cette méditation, nous nous sommes rendus dans un restaurant. Marie Laure parvint à joindre une amie thérapeute pour convenir d’un lieu qu’elles voulaient réserver pour un atelier. Après l’appel, Marie Laure me proposa de venir le samedi suivant prendre un thé avec elles à la gare de Lyon car elles avaient un train à prendre.

 

Nous nous sommes retrouvés ainsi dans un décor de rêve au Train bleu  avec ses amies. Elles parlaient de leurs projets, d’une association qu’elles voulaient monter. Il y avait Katia et Nicole qui étaient présentes. Un moment sympathique.

 

Le lendemain, nous étions dimanche 12 janvier, après la piscine, je sentis soudain l’envie de me rendre à l’église Saint Germain-des-prés. Je ne connais pas très bien cette église, mais bon je m’écoutais, et je m’y rendais à pied, profitant de l’instant pour me promener dans les boulevards un peu délaissés le dimanche.

 

En marchant, je repensais à différentes personnes qui avaient des projets mais qui n’arrivaient pas bien  à les réaliser, je ressentais l’envie, le besoin des les aider dans leurs projets. Je me disais que ma mission, où l’une d’elles serait peut-être d’accompagner les personnes dans leurs réalisations.

 

Si un copain a envie de créer une entreprise informatique pour les entreprenants spirituels, si Marie Laure souhaite créer un Centre d’éveil, je pourrais peut-être les aider spirituellement et financièrement, sauf que pour l’instant je n’avais pas d’argent. Sinon, c’est une très belle mission !

 

 

 

 

 

 

Arrivé à l’église, il y avait une messe en espagnol, je maugréais un peu, encore une messe ! Mais je décidais d’y rester.

À un moment, le prêtre dans son homélie demanda aux paroissiens s’il était nécessaire de baptiser Jésus, lui… le fils de Dieu ? Les gens répondaient par oui, d’autres par non.

Le prêtre cessa d’interroger les paroissiens et décida qu’il n’était pas nécessaire de le baptiser, il n’en n’avait pas besoin. Sauf, que par le baptême, Jésus signifiait qu’il acceptait la volonté divine et ainsi débutait ce jour là… sa Mission.

 

 

Le jour suivant, une amie me téléphona. Vivianne me dit dans la conversation qu’elle avait reçu il y a quelques années la mission de créer une école spirituelle où elle enseignerait ses méthodes de guérison.

 

 

Samedi, Marie Laure et ses amies au Train Bleu, dimanche, la promenade méditative et l’homélie du prêtre, et ce jour là Vivianne et son école…

 

Que de Missions !

Je réfléchis.

 

Je décidais de regarder le livre des Anges où l’on peut voir qu’elles sont les missions de nos Anges. À la fin de la page, la dernière mission peut-être, l’auteur disait « Il est d’un grand soutien pour mettre en place des énergies, des structures ou des activités spirituelles. »

Je ne m’en souvenais pas, moi qui disais en riant que c’était bon, que je pouvais partir maintenant, que je ne voyais plus ce que je pourrais faire de plus !

 

Donc, je demandais au quatre évangiles une confirmation : « Est-ce que je dois créer une fondation qui prêtera de l’argent aux personnes qui souhaitent créer un centre d’éveil ou de soins alternatifs ? »

C’est vrai que les banques ne sont pas très chiches pour financer ce genre d’investissement !

 

J’ouvrais les évangiles au hasard et je tombais sur une parabole de Jésus, Mathieu 25-14 :

« Jésus parlait à ses disciples de sa venue ; il disait cette parabole : « Un homme, qui partait en voyage, appela ses serviteurs et leur confia ses biens. A l’un il donna une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt, celui qui avait reçu cinq talents s’occupa de les faire valoir et en gagna cinq autres. De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. Mais celui qui n’en avait reçu qu’un creusa la terre et enfouit l’argent de son maître.


Longtemps après, leur maître revient et il leur demande des comptes. Celui qui avait reçu les cinq talents s’avança en apportant cinq autres talents et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres. - Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître.’ Celui qui avait reçu deux talents s’avança ensuite et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres. - Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître.’ Celui qui avait reçu un seul talent s’avança ensuite et dit : ‘Seigneur, je savais que tu es un homme dur ; tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain. J’ai eu peur, et je suis allé enfouir ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.’

 

Son maître lui répliqua : ‘Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu. Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts. »

 

Je comprenais la réponse. Prêter de l’argent pour les créations. Ceux qui les feraient fructifier, rembourseraient leurs prêts, et celui qui n’y arrivera pas, et bien… tant pis. L’important étant d’inciter à la création de centres d’éveil spirituel et de santé.

 

 

 

 

Le lendemain, nous étions le 14 janvier 2014. Je me trouvais à l’église de la Madeleine. Un peu avant, je m’étais rendu dans un lieu que j’aime bien, où il fait bon de méditer. Les êtres de lumière m’avaient ancré profondément.

 

Assis dans l’église, je méditais depuis un moment lorsque je sentis la présence de Marie Madeleine. Elle était présente dans sa jolie couleur jaune dorée, presque orangée.

 

Elle me confia à Saint Joseph qui me guiderait dans cette nouvelle mission. Je le vis cet homme entouré également d’une lueur jaune mais bien plus claire que Marie Madeleine.

 

Saint Joseph, bien sûr, le père nourricier. Grâce à lui, le miracle de la naissance de Jésus a été facilité, il a fourni, à Marie et à Jesus, les conditions matérielles nécessaires à leurs Missions.

 

Le soir, je faisais un soin à une dame, elle est née le 25 janvier, son mari s’appelait Joseph !

Pendant le soin, nous parlions de Saint Paul, elle me disait qu’elle voulait acheter un livre sur Saint Paul mais elle ne l’a pas trouvé.

 

 

Le 17 janvier, je voyais une statue de Saint Paul, je me décidais à m’intéresser un peu plus sérieusement au personnage et j'entreais dans une librairie spirituelle, mais ils navaient pas de livre sur lui. Le soir je téléphonais à Marie Laure, et je lui racontais mon aventure… elle a ri, me disant qu’elle venait de regarder un film ou un certain Paul a participé à un viol collectif… elle en riait, me laissant sans mes interrogations.

 

 

 

Le 25 janvier, jour de la Saint Paul, sur qui je venais d’avoir cette série de synchronicités… -j’ai toujours eu un rejet de Saint Paul, je ne sais pourquoi, j’ai le sentiment qu’il a participé avec Pierre à la création de la Rome Catholique, au détriment de l’enseignement de Marie Madeleine et partiellement de celui de Jésus-  Ce jour là, au cours d’un soin une femme me dit qu’elle faisait il y a quelques années des opérations immobilières, et que dans ces opérations elle arrivait à se faire entre 100 et 200 000 euros de commission.

Je sursautais en entendant ce chiffre car j’avais pris des renseignements au sujet de la création d’une fondation en France, il fallait disposer d’un capital de 200 000 euros.

 

En Suisse, il fallait 60 000 euros pour créer une fondation, je me disais que ce serait bien de la créer à Genève où Marie Laure s’y rendait de temps en temps pour ses activités.

 

 

Le 1er février, je me trouvais dans le lieu où j’aimais bien méditer. Je voyais la silhouette de Saint Paul, sa silhouette se déplaça jusqu’à faire partie de moi, fusionnant comme s’il était moi, je comprenais alors que je ne devais plus le détester. Sa Mission avait évolué avec le temps, Marie Madeleine ne le détestais pas. Ce fut ma leçon.

 

 

 

 

 

 

Le temps passa, nous étions arrivé au 20 juin, la veille du solstice d’été, j’étais à Lisieux. Je demandais à Thérèse et Saint Joseph où en était le projet de la fondation. La réponse fut la suivante :

« Cela viendra quand tu auras une plus grande capacité à aimer. Développe davantage d’amour, rien ne doit te heurter, et accepter ce qui vient dans la confiance. »

Ils me conseillèrent de restituer l’égo négatif, l’orgueil, la colère, pour développer ma capacité à aimer.

 

Le lendemain, jour de solstice, Lucy me contactait. Elle m’aiderait à développer ma capacité à aimer, à m’interroger sur la notion d’amour inconditionnel. À revisiter mon orgueil, ma colère. Je dois reconnaitre qu’elle a un certain talent pour ça !

 

Six jours plus tard, je recevais le rayon vert, celui de l’Archange Raphael, et l’on me disait qu’il guérit et qu’il accroit la capacité à aimer. Nos guides nous indiquent ce que nous devons travailler, puis ils nous donnent les outils.

 

 

 

Le temps passa encore et c’est ainsi que nous nous trouvions au mois de décembre 2014, un an presque après la révélation de cette mission. Je décidais de me rendre à Genève le 12, jour de portail pour planter les graines de la fondation.

 

J’achetais trois bulbes de fleurs que j’enterrerais sur les bords du lac Léman.

 

J’interrogeais les cartes que m’avait fait connaitre Lucy, et posant la question : qu’est-ce que je vivrais le 11 et le 12 décembre ?

Pour le 12, la réponse fut deux cartes : La Créativité et la Responsabilité.

Cette dernière carte était symbolisée par deux mains, de lesquelles se dégageait un bulbe qui commençait à germer. Je me dis que c’était gagné !

 

C’est ainsi qu’en présence de Nicole, nous plantions le 12 décembre trois bulbes de fleurs dans un parc qui se trouvait sur les rives du lac Léman. Nous étions deux sur place, mais une troisième personne qui avait passé la soirée avec nous, s’était relié à nous d’elle-même. Trois, le chiffre de la créativité. Nous aurions des éléments de réponse dans les six mois… peut-être !

 

En longeant le lac, nous avons même trouvé le nom de la fondation. Restait plus qu’à trouver une plus grande capacité à aimer… et restituer notre égo, l’offrir en don à l’univers.

 

 

 

 

 

Avec Nicole nous avions déjà vécu une jolie synchronicité, un soir au restaurant cette année, je lui montrais un livre que j’avais écrit dans une vie antérieure. Elle me dit :

-  Qu’est ce que tu as besoin de lire un livre que tu as écrit.

-  Oh, besoin de retrouver l’énergie, voir… le style m’aidera pour le roman que j’écris en ce moment.

Nous avions parlé de nos projets sur Genève.

 

Le lendemain, je reprenais ce livre pour poursuivre la lecture et à la page suivante, je lisais ce passage où l’auteur (moi) disait que le lac Léman était le centre du monde occidental. J’en restais estomaqué !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Janvier 2015

 



 

 

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